Lieu : Bouverie - Horaires

"Les cyclos de Charlieu" ne sont pas une association, ni un club sportif. Ils existent pourtant depuis plus de 50 ans.

Ceux d'aujourd'hui ont peu à peu pris la place. Ce sont des mordus de vélo, indépendants, qui aiment
rouler ensemble
pour le plaisir de pratiquer les routes autour de CHARLIEU. Tout amateur peut se joindre au groupe.
Un seul mot d'ordre, outre la bonne humeur, se retrouver au point de ralliement : PLACE DE LA BOUVERIE - CHARLIEU
L'été le rendez-vous est à 8h00
. Les autres saisons, c'est à 13h30.
Les rendez-vous ont lieu les mardis et vendredis.

Flash défilant hiver

Horaires des sorties-cyclos, le mardi et le vendredi : 13h30 - place de la Bouverie - CHARLIEU

lundi 14 septembre 2015

Pour une grimpée du Ventoux de rêve !

Quelques cyclos sont déjà d'accord pour organiser une sortie de deux jours pour faire l'ascension du mont Ventoux, dans la semaine du  21 au 25 septembre.

Appel est fait à tous les volontaires, prêts à les accompagner. 

Rien n'est encore décidé fermement, car la météo peut jouer un rôle déterminant. Le Ventoux porte bien son nom, certains jours de pluie ou de vent il vaut ne pas insister !

Il doit être aisé à cette période de l'année de réserver une (ou deux) nuit(s) d'hôtel.

Pour tout renseignement, se rendre au rendez-vous des mardi et vendredi, place de la Bouverie - à 13h30- ou alors téléphoner à Jacqueline au  06 89 72 96 27

jeudi 10 septembre 2015

Pages de légende ...

Bien sûr, il y a les sorties régulières, les mardi et vendredi, voire d’autres jours...  Mais il y a aussi les autres escapades qui permettent de découvrir de nouveaux horizons.


Il faut parler des randonnées - cyclosportives ou cyclotouristes - réparties sur tout le territoire. Elles rassemblent de centaines ou des milliers d’amateurs de tous styles. Ce sont un peu les grand-messes ou les processions pour notre temps de loisirs et de performance …

Il suffit de quelques clics sur le net et l'on trouve tous les renseignements pour s'y rendre, pour se préparer ou pour s'inscrire. On en connaît tous quelques-unes, les plus célèbres ou les plus proches. Mais il en est organisé des centaines ; sans parler des épreuves professionnelles, en 2015 c'est pas moins de 32  cyclosportives et  81 cyclotouristes.

Chaque été nos cyclos charliendins s'en donnent à cœur joie, participant notamment à l’Ardéchoise. Michel Soutrenon est l’un des plus assidus. Cette année encore, il y a pris part : 4 jours, quelques 650 km, une enfilade de cols pas toujours très élevés mais pentus, pour aboutir à 8-10 000 m de dénivelé. Puis il a enchaîné avec la randonnée des Cévennes,  avec la dizaine d’autres courageux. Au total pas loin de 900 km au cours de la semaine ! C’est un vrai job que d’être retraité !
Il est où  "LE Jean-Pierre"...?  C'est le gars qui grimpe les mains dans les poches ?
Deux participants à l’aventure cévenole, Jean-Pierre Vallet et Alain Gatinet, ont prolongé début juillet par la fameuse cyclosportive de Jean-Pierre Papin - "JPP neuf de coeur". Entre Cluses et Les Carroz, 130 km passant par les grands cols mythiques de la Haute Savoie. Lors de prochaines sorties, ils nous en raconteront les détails.

Malgré leur moindre kilométrage au compteur Bernard Auroy et Daniel Aucourt avaient choisi de participer, autour de Langeac (43), à la célèbre "Pierre CHANY", que tous les lecteurs de l'Equipe connaissent bien pour avoir lu ses reportages lors des 49 tours de France qu'il a commentés ! 

Courageux nos deux amis, se sont levés bien tôt pour prendre le départ d'un parcours de 85 km et de 1400 m de dénivelé. Mais dans l'excitation du moment, ils se sont trompés de lieu de rendez-vous. Lorsqu'ils s'inquiétèrent, leur groupe était parti depuis .. 45 minutes !

Ce qui leur a valu les (presque) derniers encouragements sur le parcours. L'essentiel n'est-il pas de participer ? Merci de n'avoir pas oublié de ramener quelques photos, pour notre plaisir.

Un autre ne s'est pas contenté d'une seule rando d'envergure, il les a enchaînées. C'est le cas de Jean-Paul Jandot. On attend encore le compte-rendu de ses exploits. Ce sera sans doute pour un autre article.

Et puis il y a les grandes chevauchées qui permettent de franchir les grands et hauts espaces de notre hexagone, comme la traversée des Alpes ou des Pyrénées.
Là c’est affaire de fascination, de combat personnel. Se battre contre les éléments, gravir les cols les plus exigeants, parcourir  les descentes les plus folles, pour la satisfaction d’avoir réalisé un rêve, parfois ancré en soi depuis longtemps.

C’est le choix de notre ami Pierre Favier – dit Pierre Le Grand – grand expert du plaisir personnel – Nous avions parlé de ses exploits il y a quelques semaines [article du 7 juillet] : il a annexé de nouvelles pages à sa légende en ajoutant  la chaîne  pyrénéenne  à  son  parcours  alpin.

Pierre Le Grand II
Pour résumer en quelques chiffres : 760 km – 28 cols dont les célèbres Marie-Blanque, Tourmalet, Aubisque, Soulor, Menté, et bien d'autres,  pour ... quelques 16 000 m de dénivelé positif en six jours ! Chapeau bas !
Et si un jour il fut jeté à terre par un méchant vent soufflant en bourrasques, il se releva sans mot dire et poursuivit jusqu'au bout. Pas question d'abandon, ni de renoncement : ce spécialiste du plaisir solitaire n'est pas adepte de l'onanisme. Terrassé, il est encore debout, c'est Pierre courage vous dis-je !

Peut-être, l'an prochain, visera-t-il la lune, notre ami Pierrot ?

Au sommet de l'Aubisque - Pierre ? c'est celui de droite !

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A Collioures : opération terminée !

samedi 5 septembre 2015

Les héros de l'été ...

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Pas d'articles nouveaux cet été et pourtant "ils" continuent à rouler !

Les vrais cyclos ne dorment pas sur leurs lauriers, ils vont en conquérir de nouveaux, chaque été, sous les latitudes les plus diverses, sur des itinéraires les plus variés.

Loin de Charlieu, depuis juin, ils ont donc parcouru des "cyclosportives" ou "cyclotouristes", comme l'Ardéchoise, la Jean-Pierre Papin, ou la Pierre Chany ; ils ont vaincu des cols les plus célèbres des Pyrénées ou d'ailleurs ... mais continuent à rester modestes.

Ne les laissons pas anonymes : sachons les débusquer, pour publier leurs exploits.

Alors, avis à tous ceux qui pourraient nous "dénoncer" ces nouveaux forçats de la route, dignes de notre admiration. Ou qui pourraient nous obtenir quelques photos !

Le blog des "Cyclos de Charlieu" se fera un plaisir d'en rendre compte.

Des héros sont à nos côtés
il ne suffit pas de les voir, il faut le faire savoir.
On compte sur vous !  


jeudi 16 juillet 2015

Pistes cyclables et autres réglementations ...

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Chacun sait combien notre ami Pierre, grand baroudeur devant l'Eternel, est un homme raffiné et cultivé.
Sitôt revenu de sa transalpine (cf. l'article - "Le temps des légendes et des héros"), il s'est plongé avec avidité et sans doute plaisir solitaire non dissimulé, dans le journal officiel de la République.

Il y a déniché des informations de la plus grande importance pour tous les adeptes de la pratique du vélo, sur les pistes cyclables ou autres routes de France et de Navarre.

Voici le contenu qu'il n'a pas tardé à transmettre aux Cyclos de Charlieu :

Extrait du Décret n° 2015-808 du 02 juillet 2015 
  relatif au Plan d’Actions pour les Mobilités Actives et au stationnement 
[publication : J.O. - 4.07.2015]

Ce décret vise à sécuriser et à développer la pratique de la marche et du vélo. 

Il améliore le respect des cheminements piétons et des espaces dédiés aux cyclistes, en aggravant les sanctions en cas d’occupation par des véhicules motorisés. 

Il interdit l’arrêt ou le stationnement à cinq mètres en amont du passage piéton (en dehors des places aménagées) pour accroître la visibilité entre les conducteurs de véhicules et les piétons souhaitant traverser la chaussée.
Il généralise les doubles sens cyclables aux aires piétonnes et à l’ensemble des voies où la vitesse maximale autorisée est inférieure ou égale à 30 km/h (sauf décision contraire de l’autorité de police).
*  Sur les voies où la vitesse est limitée à 50 km/h ou moins, il permet aux cyclistes de s’écarter des véhicules en stationnement sur le bord droit de la chaussée.
*  Dans le même temps, il autorise le chevauchement d’une ligne continue pour le dépassement d’un cycliste si la visibilité est suffisante.

Vous avez tous suivi ? Vous avez tout retenu ?  Vous n'avez pas tout compris ?

Pas de souci, lors de la prochaine sortie notre Pierrot, arpenteur patenté, 
répétera la théorie pour tous et pour chacun,
accompagnée de cours pratiques et démonstrations gratuites. 
Il donne même des conseils à domicile. 
N'hésitez pas à faire appel à lui : 06 21 07 42.

Quel homme, vous dis-je !

mardi 14 juillet 2015

Le Guidon ? Un lieu prédestiné pour réveiller un champion !

Tout récemment la télévision a diffusé un documentaire (1)  de Laurent Cadoux, évoquant la carrière du bourguignon Bernard Thévenet. L'année 1975 a laissé le souvenir de la célèbre étape de Pra-Loup dans le Tour où notre champion avait réussi à terrasser le grand et presque imbattable Eddy Merckx. On lui accorda dès lors le surnom de "Tombeur du Cannibale", ce qui l'indisposa parfois, estimant que cette gloire d'un jour éclipsait par trop ses autres victoires : deux fois vainqueur du Tour de France en 75 et 77, second en 1973, 10 victoires d'étape, 2 critériums du Dauphiné, etc.  

Ce documentaire a-t-il ravivé la mémoire d'un de nos cyclos charliendins ? Sans doute, puisqu'au même moment il nous a adressé cette petite anecdote, survenue alors qu'il  n'avait que 18 ans et qu'il faisait ses premières sorties.

B.Thévenet au championnat du monde 1974
Mais lisons plutôt  son compte-rendu ...  C'était sans doute en mai 1971.

"Comme d’habitude ce dimanche matin, le groupe de cyclos s’élance de bon matin. Direction la Saône et Loire. Vers neuf heures, alors que Charolles approche, le peloton arrive à hauteur du lieudit « Le Guidon » à Saint-Julien de Civry où se situe alors la ferme familiale de Bernard Thévenet. A la tête du groupe figure Jo Dessertine, cycliste renommé qui n’a pas sa langue dans sa poche. A la vue de la ferme, Jo s’écrie « Bernard doit être là, allons le voir ». 

L’ensemble des cyclos se retrouve alors dans l’immense cour de la ferme où le père Thévenet vaque à ses occupations. Il est un peu surpris de cette visite inopinée mais il reconnaît Jo Dessertine. «Il est ben là, Bernard » lui dit Jo. « O lé ben là mais o lé pas levé » répondit le père dans son patois charolais. Bernard, déjà coureur professionnel connu, avait couru la veille dans un critérium de la région et était sans doute rentré tard chez ses parents. « O doit ben être réveilleu, y’a qu’à monter dans la chambre » ajouta le père. 

La montée sur Pra-Loup, B. Thévenet marque et bat E. Merckx
Pas dégonflés, Jo en tête, nous voila tous montant en file indienne l’escalier droit, étroit, pentu et sombre qui conduit à la chambre du champion. En un instant, un peu gênés, nous entourons le lit du coureur, heureusement éveillé, à l’image d’une famille autour d’un mourant... Seul Jo ose parler au visité, ce dont il ne se prive pas. Je ne me souviens pas vraiment de quoi il a été question si ce n’est cette remarque de Jo : « C’est Bordeaux-Paris aujourd’hui ! ». « Oui, approuve Bernard » qui jette machinalement un œil sur son réveil, « y’a un sacré moment qu’ils sont partis ». La course Bordeaux-Paris démarrait en effet à minuit du pays du bon vin pour arriver à la capitale dans l’après-midi. C’est cette remarque qui autorise à dater l’anecdote, sachant qu’elle est postérieure à la victoire de Thévenet à La Mongie dans le Tour 1970, et que la classique se courait en mai.

Il va sans dire que nous n’avons pas trop longtemps troublé le repos du coureur, nous avions déjà fait preuve d’une belle audace… 

Est-ce l'histoire qui a définitivement vacciné "au vélo" notre conteur du jour, d'autant qu'il porte le même patronyme que le champion ? Toujours est-il que depuis il roule régulièrement en dépit de ses maux de dos... Mardi dernier il est même revenu dans le "peloton charliendin" qu'il avait délaissé depuis près de 18 mois.

Courage et merci !


(1) Documentaire de Laurent Cadoux : "Bernard Thévenet, le tombeur du Cannibale" - FR3 - 6 juillet 2015

mardi 7 juillet 2015

Le temps des légendes et des héros !


Il y a eu les grandes légendes du vélo, les mythiques gloires du Tour de France, les forçats des grandes classiques. Vous croyez que cela c'est du passé ? Eh bien il y a encore des héros aujourd'hui !
En voici un,  un géant bien plus modeste et moins médiatisé que les précédents ... Quoique !

Au sommet du Galibier, qu'il franchit plusieurs fois par an !
Il suffit d'ouvrir votre journal local (édition du 7 juillet)  pour y découvrir l'exploit de cet authentique héros des temps post-modernes... Pierre naguère géomètre, aujourd'hui arpenteur des grands espaces.

Chapeau l'artiste ! Homme de contacts, sympathique autant que courageux, il  possède la rare qualité de la double nationalité, celle de la Pédale Saint-Nizerote dont il fut le fondateur et celle des Cyclos de Charlieu qu'il a rejoints depuis quelques années. Une double appartenance qui lui accorde le droit à une double dose d'entrainement et un double soutien d'admirateurs (-trices)...

Son exploit ? la Route des Grandes Alpes, un itinéraire touristique prestigieux, du lac Léman à la mer Méditerranée par les grands cols alpins : la plus belle des itinérances montagnardes offertes aux cyclotouristes. De Thonon-les-Bains jusqu'à Nice : 720 kilomètres de routes,  ponctués par 17 cols parmi les plus hauts des Alpes françaises. Parcours en solitaire accompli en 6 jours, la semaine dernière sous un soleil éprouvant, pour un dénivelé total de 15 000m. 

Écoutez la petite musique que lui décerne son ami, "journaliste préféré", pour une fois conforme à la vérité des faits : "Libéré depuis peu de certaines obligations professionnelles, celui que l'on surnomme Jean-Sébastien Bach de la petite reine, pour son art de la fugue" a réussi "l'une des plus belles partitions du répertoire" ! 

"Jouez hautbois, résonnez musettes" Un maestro ce Pierre !  Bra-vo !

L'itinéraire suivi passant par la Colombière, le Télégraphe, le Galibier, l'Isoard, le Cormet de Roselend et bien d'autres...


 

lundi 29 juin 2015

A nous, les petits et grands cols des Cévennes !

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Dimanche 21 Juin, 7heures - Le jour tant attendu est arrivé et le départ pour St Jean du Gard est imminent. Le groupe est presque au complet ; manquent les deux Michel et Alain qui doivent nous rejoindre à St Jean, mais surtout Paul qui a du déclarer forfait à la suite d'une violente chute et Angèle pour maladie. Dommage !
 

Après les photos d’usage, nous prenons la route via l’autoroute, avec arrêt petit-déjeuner sur l’aire de St Rambert d’Albon. Nous arrivons à destination à 12h30 et la place du village parsemée d’énormes platanes va nous accueillir pour pique niquer.


Le pique-nique à St Jean du Gard
Après un petit strip-tease dans les voitures pour enfiler nos tenues - les chambres de l’hôtel ne sont pas disponibles avant 17h - nous prenons la route pour une petite boucle de 70 km qui nous emmène dans les gorges du Gardon. Paysage magnifique et  traversée de petits villages très typiques. 
La route est assez roulante avec quelques faux-plats montant qui nous brident quelque peu mais la montée sur Pompidou et ses 5km à 8% de moyenne (avec des passages à 9 et 10 %) sous une température de 35° nous fait très mal.
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Parés, pour la première sortie
La descente sur Saint-Jean va se faire à vive allure car devant Jean Pierre, Michel et Charly en ont encore sous la pédale. 
Après une bonne douche et le bon dîner, nos valeureux cyclistes ont hâte d’aller se coucher. Peu de volontaires pour faire la coinche, hormis les femmes qui elles sont en pleine forme. Demain une grosse journée se profile avec l’ascension du Mont Aigoual et ses 1565m !

Après une bonne ou mauvaise nuit pour certains et un bon petit déjeuner nous voilà partis pour 120km toujours en longeant les gorges, en direction de Moissac, Cabrillac.  La longue montée de 29 km vers le Mt Aigoual, bien que peu pentue (moyenne 4%,  avec un passage à 7% assez long et usant) nous emmène au sommet sous une température de 20°. Et pas de vent, chose rare pour ce sommet !
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Regroupement hommes et femmes et si Georges notre doyen a préféré finir en voiture, personne ne lui en voudra : la sagesse est de mise.
Nous descendons à Espérou où un bon restaurant nous attend grâce à la coopération des épouses qui ont très bien géré l’intendance. 
Après une longue descente de 15 km et un retour à une altitude de 450m, Valleraugue nous attend pour débuter le col du Pas et ses 10km d’ascension à 4% de moyenne sous un soleil de plomb. Après une petite halte au sommet nous plongeons dans la vallée et retrouvons la route qui longe le Gardon. Retour à l’hôtel, fatigués certes mais heureux de cette belle journée. Récupération sur la terrasse avec un bon demi !
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Mardi fut la journée touristique passée tous ensemble, après une petite balade vélo autour de St Jean. Sauf pour Michel Trambouze qui a dû se contenter d’aller au marché pour cause d’un ennui mécanique.  De leur côté, Jacqueline, Jean-Pierre et Alain   toujours en manque de km, étaient partis pour d'autres envolées. 
A midi, nous sommes partis retrouver nos épouses à Uzès pour passer l’après midi entre visite du Haras, du centre-ville et de l’usine Harribo.
Soirée particulièrement chaude, à l'hôtel ... Chut !

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La remise des maillots pouvait commencer ; Alain avait bien fait les choses en remettant le maillot jaune à  Georges et des casquettes aux autres.

La soirée fut particulièrement arrosée et animée avec chanson improvisée par Maryse.
Et quelques refrains rock'and'roll du Gérant ...
Le tout parfumé d’une eau de vie de prune que notre ami André nous avait apportée.
 Et pour finir, petit concours de coinche où Michel et Nanou les champions tombèrent sur une doublette qui leur apprit qu’il ne fallait jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tuée.  

Georges, le doyen, honoré du maillot jaune


Dernier jour et départ non sans regret !
Un petit détour à Vallon Pont d’Arc pour la visite de la grotte Chauvet, proposée par André. 

Un dernier repas pris ensemble à la cafétéria du site avant de se quitter ... en se promettant de recommencer l’année prochaine.
Au complet cette fois !
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Merci Gérard pour avoir assuré le compte-rendu sans tarder et transmis les premières photos.

mardi 16 juin 2015

Rando des Cévennes : une organisation dans la bonne humeur

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C'est au second verre de blanc (merci André pour ton fameux  Pacherenc de Vich Bil 2010) que l'on put finaliser  l'organisation de la randonnée dans les Cévennes.
Mais pour les mémoires défaillantes (ou les esprits embués), rappel de l'essentiel :

* départ dimanche 21 - 7h00 - place de la Bouverie.
* cinq véhicules : Prost (6) - Giraud (4) - Marinier (4) - Vallet (3) - Vanet (2)
* deux voitures (4) et une moto (1) nous rejoindront à Saint-Jean

Itinéraire : Saint-Etienne - Le col de la République - autoroute A6 de Tournon à Bollène - Alès - Anduze - Saint-Jean du Gard.
395 km - selon MAPPY - Estimation : 6 h 05.

Apporter son pique-nique pour le déjeuner. A l'arrivée à l’hôtel, petite sortie "mise en jambes" à vélo pour les uns, à pied -ou voiture- pour les autres (vers Anduze ? vers la Bambouseraie ?).

Le programme sera à ajuster sur place. La météo pourrait permettre de projeter ceci :

* lundi 22 : sortie au mont Aigoual (1567m) - avec regroupement de tous au restaurant - par exemple à L'ESPEROU mais ... trop proche  (61ème km) - sinon à St André de Valborgne (90ème km) mais un peu loin !
Un pique-nique vers Cabrillac (73e km) -pas de restau- serait bien préférable.

* mardi 23 :  sortie vélo en matinée - balade pour les autres - sortie ensemble l'après-midi : Le Vigan ? La Grotte des Demoiselles ? Saint Hippolyte du Fort ? (selon les visites faites le dimanche)

* mercredi 24 : après avoir quitté l'hôtel, direction Vallon Pont d'Arc, pour une visite de la grotte CHAUVET. André se préoccupe des réservations, car les visites sont sérieusement planifiées ! Puis déjeuner commun et retour.



Des projets vélo, selon la forme de chacun :

1. La Corniche des Cévennes-L'Hospitalet  -  82 km - 1395m de dénivelé





 2. La Corniche des Cévennes - Le Pompidou : circuit plus court - 63 km - 1050m de dénivelé





3. Le tour du Mont Aigoual - 118 km -2198 m de dénivelé - parcours pour la journée.



4. La porte des Cévennes (circuit suggéré par Georges) : 83 km -  1370m de dénivelé




et encore bien d'autres possibilités. A chacun de voir, ce ne sont que quelques suggestions.

A l'approche de la rando dans les Cévennes

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Pour les inscrits à la  rando des Cévennes  (21-24 juin) , le départ est proche ...

Il faut organiser le covoiturage, le déplacement des vélos, le planning et le parcours des sorties cyclos ... Et aussi les balades pour ceux qui marchent ou visitent.

Sans parler de l'heure de départ.
Ni oublier les précisions sur le lieu de séjour :

Hôtel la Corniche des Cévennes - 
Route de Florac
SAINT JEAN DU GARD 


Alors rendez-vous ce mardi 16  juin à 11h30 aux Brosses, chez l'auteur du message.

Dimanche, les amis Soutrenon et Trambouze, ainsi que Alain Gatinet nous rejoindront sur place.

A bientôt.

Paul, alias Amateur DEVÉLO 

lundi 15 juin 2015

Mémoire de cyclos : "Pan sur le bec !" comme dirait le Canard enchaîné !

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Certains se demandent pourquoi le "web-master" n'alimente pas ce blog de comptes-rendus réguliers. Tout simplement parce que n'est pas son objectif. Les sorties se ressemblent, si l'on veut bien mettre de côté la question du parcours, et c'est un peu comme les trains dont on ne parle pas lorsqu'ils arrivent à l'heure. 
Faudrait-il souhaiter une chute ou un autre avatar pour avoir quelque raison d'en parler ? Ce n'est en tout cas souhaitable pour personne ... et lorsque cela arrive (n'est-ce pas Jacqueline ?) le reporter n'est pas toujours là, accompagné de son appareil photo.

Le présent blog a plutôt pour but de relayer l'information entre les membres, avant ou après une randonnée ou une manifestation. Cependant si la demande de compte-rendu revient souvent, c'est sans doute que beaucoup s'habituent à fréquenter le site et en attendent toujours quelques nouveautés.

Des nouveautés, il n'y en a pas toujours. Mais pourquoi se priver d'une histoire ancienne ? Très récemment j'ai reçu de l'ami Daniel Thévenet -que l'on ne voit plus très souvent à nos rendez-vous de la Bouverie-, un petit mél amusant.  Il y rapporte une anecdote évoquée  avec Hélène et Paul Lapalus, brillant capitaine de route des cyclos charliendinsJe ne résiste pas à vous la transmettre intégralement. 

"Dimanche 22 août 1993, un peloton d’une bonne vingtaine de cyclos charliendins s’élance de bon matin en direction de la Saône et Loire et de l’Allier. Le parcours a été établi grossièrement, avec en point d’orgue ce qui constitue à cette époque le moment privilégié de la matinée, le casse-croûte. Le lieu des agapes sera ce jour-là Montaiguët-en-Forez. Arrivés sur place, nous nous répartissons comme d’habitude les tâches du ravitaillement dans le village, les uns achètent le saucisson, d’autres le fromage, le chocolat et le pain. Tout ce beau monde se retrouve au bistrot dans lequel nous commandons la boisson, la dépense devant être comme toujours partagée entre tous. Nous n’avons pas prêté attention au fait que ce bar faisait aussi restaurant, mais cette situation s’était produite bien d’autres fois.
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Montaiguët-en--Forez (Allier)

Il se trouve qu’au cours de la semaine précédente, un certain Daniel a eu quarante ans. Il annonce fièrement : « Je viens d’avoir quarante ans, je paie la boisson ! ». Bonne initiative ! se félicite l’assemblée. «Vous voulez quoi comme vin ?» interroge le barman. Tout le monde se regarde et Daniel de répondre « On va améliorer un peu l’ordinaire : Côte du Rhône ! ». Après tout, le Côte du Rhône peut être d’un prix tout à fait abordable…
Le casse-croûte se passe, comme de coutume, formidablement bien, chacun racontant quelques exploits en tout genre pour épater les copains. Les pichets de Côte du Rhône se vident. Arrive le moment de se répartir la dépense, et pendant que Paul se livre, comme toujours, au calcul de la part de chacun pour la nourriture, Daniel demande combien il doit pour la boisson. Le tenancier, d’un âge assez avancé et roulant les r, vient vers lui et lui annonce : « Cent, quatre vingt ». Nous sommes encore à l’époque du franc et Daniel comprend 100,80 francs. Il sort alors naïvement le billet de 100 F qu’il avait dans sa poche, accompagné d’une pièce de 1 franc pour faire l’appoint, croit-il. Le vieux Monsieur se fait alors bien comprendre : 180 F ! Panique, Daniel n’a pas grand-chose d’autre. Alors que presque tous ont déjà rejoint leur vélo et ajustent leur casque, le tout nouveau quadragénaire, penaud, lance un appel : « Je n’ai pas assez pour payer ! ». C’est ainsi qu’il a fallu faire la quête pour rassembler la somme demandée, laquelle paraissait un peu salée..."
Et Daniel de conclure : "Quand on traverse Montaiguët-en-Forez aujourd’hui, on peut constater que l’établissement est fermé !"  
Ceci expliquerait-il cela ? 

Alors si vous en avez d'autres, n'hésitez pas. On trouvera de la place sur une nouvelle page...

Devant la télé, revoir les cyclos de Charlieu


Le précédent message relayait l'excellente suggestion de Georges de rejoindre tous les cyclos roannais, ce mardi 9 juin, pour une randonnée-balade entre Roanne et Montagny : découvrir le matin le parcours de l'épreuve du contre la montre que les équipes de coureurs du Critérium Dauphiné parcouraient l'après-midi. Près de 50 km/h pour ces derniers, un peu moins (!) pour les randonneur...
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Le "club des cinq", toujours enclins à exhiber leurs mollets devant le présentateur TV !
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L'idée avait plu et ils étaient nombreux nos charliendins à se rendre sur le parcours. Il suffisait le soir de s'installer devant sa télévision et d'ouvrir sur les nouvelles sportives de FR3 Rhône-Alpes, pour découvrir en première ligne nos amis. N'avaient-ils pas belle allure dans leur maillot des Cyclos de Charlieu ? Bernard, Daniel, Georges, les Michel et sans doute quelques autres ... un peu moins cabotins qui n'avaient pas mis leur nez devant la caméra ou qui n'avaient pas eu la chance d'être là au bon moment ! "Eux, posaient presque pour l'éternité", selon le commentateur TV. C'était sans doute exagéré mais il y avait tout de même un petit côté "j'y étais" ! Et ils eurent bien raison.

En tout cas la vidéo ci-dessous fait foi de leur présence et aussi de leur plaisir largement partagé : ils étaient plus de 200, sous un beau soleil de juin. Que demander de plus ?



L'auteur de ce blog, l'ami Amateur DEVÉLO, n'était pas là pour se joindre au groupe. Mais c'est l'excellent motard Alain Gatinet, accompagnateur de courses cyclistes et néanmoins cyclo et vététiste chevronné, qui adressa cette petite vidéo dès le lendemain. Merci à lui et à bientôt, dès que le tour des Pays de Savoie sera terminé !

dimanche 26 avril 2015

Docteur, c'est une épidémie ? Non un stimulant.

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La saison des grippes, c'est fini mais avec le printemps d'autres virus ou bestioles prolifèrent ...

Cette année, c'est une épidémie  de vélos, donnant naissance à diverses  maladies multiples : notamment une Lapierre-ite  et une Kuota-ite subites, mais bénéfiques m'a dit mon docteur qui en connaît un rayon ! 
Symptômes : outre le sentiment très intime de bien-être et de satisfaction discrète, elle donne le pied plus léger et la pédale plus vive. C'est une sorte de dopant psychologique naturel, indétectable par la méthode sanguine. C'est pourquoi Salvatore, l'un des plus anciens, attend d'ici quelques jours une dose de Lapierre-ite, non pas d'occase comme un autre septuagénaire, mais d'une toute nouvelle souche. Plus pêchue, plus raffinée. Cependant son fournisseur est peu fiable sur les dates de livraison ... "le 23 avril" a-t-il dit ... mais de quelle année ? Notre ami devra-t-il  attendre, pour bénéficier du confort de cette nouvelle médecine, un délai de 24 mois ... comme un  réputé docteur charliendin qui vient enfin de toucher à sa potion magique ! [histoire vraie]

Tandis que ses élèves prenaient des vacances bien méritées,  Christian -d'une nature pourtant solide et jeune- s'est essayé au vaccin de l'officine Lapierre. En dépit d'un protocole d'essais cliniques avancé et de la manipulation génétique de la potence, il n'est pas encore parfaitement convaincu par son virus. Devra-t-il se résoudre à changer de médecine ? La Lapierre-ite est certes efficace mais trop limitée en cadres dans les pharmacies régionales. Il lorgnerait -paraît-il- sur d'autres laboratoires internationaux, comme Orbéa, Scott, ou ... A moins qu'il subisse une affection soudaine pour la Kuota-ite, tout comme Jean-Paul.

En effet, Jean-Paul se sent fort depuis quelques semaines. Avant, il lui arrivait de ne plus être dans le bon tempo ; il n'arrivait pas toujours à temps... ; bref il souffrait d'une mauvaise "Time-ite". Alors pour se booster, il n'a pas lésiné sur la couleur : rouge feu comme une bonne inflammation qui vous revigore les manivelles dès que le relief s'élève. Et quand il aura réussi à brancher sa nouvelle souche dopante sur la rando du "Mont-Blanc", il sera immunisé pour quelques années.

Bien sûr, dans le peloton, il y a toujours ceux qui sont moins atteints. Ce sont les habitués, ceux qui changent de symptômes d'une semaine à l'autre. L'exemple parfait c'est Charlie, qui passe aisément d'une Giant-ite à une Look-ite. Mais ceux-là résistent parce qu'ils ont déjà généré des anticorps. Il y en a même un, Gérard-des-Encognes, qui l'hiver pratique avec une Trek-ite et se guérit au printemps avec une Vilier-ite. Tous les profils sont dans la nature !

Trois des costauds du jour : Christian, Pierre et Michel

Et puis, n'oublions pas les fidèles qui s'accommodent très bien de leurs petits virus, bien entretenus aux huiles essentielles ; ils font corps avec, car ils risqueraient de devenir malades en changeant de monture : Bernard reste fidèle à son microbe Giant, Jacqueline à sa tisane explosive Cannondale-couleur-menthe, Daniel, Georges aussi ... et Michel  à sa potion hautement Specialized en énergie renouvelable. Même Jeannot au dernier Trocathlon n'a pas voulu céder son Vitus pour un nouveau Virus. Il a raison, tant qu'il lui fait gagner une pancarte de temps en temps !  
  
  Bref, ce vendredi, après la visite -exclusivement médicale- du début de sortie, ils ont choisi de faire de la bosse. Histoire de faire tousser les plus fragiles ... Alors, je vous raconte pas les courants d'air aux  Quatre-Vents et  les bourdonnement d'oreilles au Pavillon ! Les malades du gruppetto purent cependant se refaire les zygomatiques, sur la terrasse de Christian, en voyant Pierre se mettre en bière pour la première fois.
Lui qui, sur l'air de Sheila, rentra à Saint-Nizier en chantonnant "c'est la première bière de ma vie" ! Heu-reux. Saint-Pierre, quoi !

Itinéraire du jour :  83 km - 1165 m de dénivelé.



mardi 21 avril 2015

Sortie du 21 avril. Du Brionnais à l'Outre-Loire

En avril, quelques belles semaines de printemps ... qui font sortir les cylos de leur tanière. La semaine dernière, le peloton dépassait les 20 unités. Attention, c'est plus qu'autorisé !
Ce mardi 21, de  "grosses pointures" au rendez-vous ... et des écarts d'âge considérables. Depuis Pauline jusqu'à Salvatore, la fougue de la jeunesse face à l'expérience des anciens ! Sans oublier le retour d'un ex-blessé de l'épaule (voir la sortie du 10 mars) que la Faculté avait autorisé à reprendre la route.
Le vent du nord-est soufflait, il fallut prendre la direction du Brionnais, en démarrant franchement par le moulin de la Motte. Heureusement, une crevaison bienvenue juste avant Vauban permit à chacun de voir "le cardio" reprendre son souffle !
Jeannot met la tête dans le guidon et s'octroie la pancarte de Semur. Mais les gros bras s'étaient frisé la moustache dans la descente ! Direction de Sarry, une belle petite route, les sous-bois, les fleurs et les odeurs de printemps. La remontée sur Anzy le Duc  laisse quelques traces et les anciens s’époumonent. Revigorés et toujours rusés, ils sautent le ravitaillement de Montceaux l'Etoile. Malgré les relais vengeurs de Pierre, on ne les revit plus ... Sans doute avaient-ils pris la Voie Verte de retour à Vindecy !
La Loire franchie, le retour fut classique : Avrilly, Bourg le Comte, Chambilly jusqu'à Briennon. Et avec un léger vent arrière, les petits pignons furent en effervescence ! La montée du Poggio vit bien s’égrener le peloton mais grâce à quelques tours de rond-point d'attente, la troupe s'était reformée. Certes le "col de Rongefer", comme dit Francis, fit bien encore la différence et les costaud finirent devant tandis que le groupetto arrivait  dans les temps, séparé par quelques encablures.
Bilan : plus de 27 km/h de moyenne,  est-ce bien raisonnable pour des septua...  ? Mais le parcours était roulant.

L'itinéraire du jour : 95 km - 690m de dénivelé.


mercredi 25 mars 2015

Sorties de la semaine des Cyclos de Charlieu

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Message hebdomadaire : changement de saison !

*   Chaque MARDI  et VENDREDI : à partir du 1er juin le rendez-vous est à 8 h 00.
pour des sorties matinales permettant d'échapper à la chaleur.

*   Les sorties d'après-midi (13 h 30) reprennent en septembre, selon la météo.

*   Point de rencontre habituel : sur la place de la Bouverie.
 
*   Si la météo n'est pas favorable ... il est loisible à chacun de me transmettre une consigne la veille -ou le jour avant 12h30- pour proposer un autre jour ou un autre R.V.  [le "webmaster" mettra alors le site à jour]

*   Il est toujours possible que quelqu'un se propose pour préparer un parcours, facile pour début de saison, plus corsé ensuite ...

*   Bonne route à tous ...




Sortie du mardi 24 mars

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Temps maussade, vent sud-est faible et les courageux pas très nombreux : huit cependant pour accomplir le tour.

D'abord il faut s'entendre sur le parcours. Perreux, Saint-Victor ... ?  Ou bien,  Coublanc, Arcinges...? C'est Coublanc qui gagne mais avec retour par Perreux, pour contenter chacun. Entre les deux, bien des hésitations, surtout quand au Cergne l'on tente d'échapper à la pluie, sous l'abribus. Il suffit d'ailleurs de repartir pour laisser les gouttes derrière et viser Régny puis Notre-Dame de Boisset.

A noter ?  Juste une "pancarte" mémorable à La Gresle, qui laisse encore à Pierrot un goût amer. Comme dit son ami Jeannot - le célèbre moineau de Chandon, à défaut d'être l'aigle de Tolède- "c'est à la fin de la foire qu'on compte les bouses" : eh bien, c'est sur la ligne qu'on désigne le vainqueur !


L'itinéraire du jour - 80 km - 910 m de dénivelé.

lundi 23 mars 2015

Les cyclos et leurs proches cousins de l'E.C.C.

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Il en est dans le monde du vélo comme dans celui de la politique. Il y a de multiples groupes : les uns sont des cyclo-touristes, d'autres des cyclo-sportifs, d'autres encore des coursiers ou en tout cas l'ont été ... Certains sont encartés, d'autres ne sont qu'apparentés ...

Le groupe des Cyclos de Charlieu transcende toutes ces catégories : il rassemble tous les amoureux du vélo, indépendants, qui ont pour plaisir et ambition de partager les sorties, sillonner les routes, sans autre exigence. Parmi eux, se retrouvent bien sûr quelques uns qui appartiennent au club charliendin : l'Entente Cycliste Charlieu (E.C.C.).

L'Entente Cycliste Charlieu - en présentation sur la plaquette 2015
Dans le cadre de ce club institué, ils organisent des compétitions, assurent des manifestations diverses en particulier les courses  autour de Malfarat et le Grand Prix de la Soierie sur le tourniquet des boulevards. Plus organisés, plus jeunes, plus compétitifs surtout, ils sont en quelque sorte des cousins des cyclos de base. Mais ils ne négligent pas les sorties avec ceux-ci, prêts même à attendre en haut des bosses l'arrivée du groupetto ou des retardés lointains.

Charly -au pied léger- dans le Grand Colombier


Sans créer pour autant une cohabitation délicate, il arrive que quelques uns, surtout en début de saison, redoutent les sorties trop nerveuses, sous l'ardeur de ceux qui apprécient quelques bonnes parties de manivelles et les retours où l'on met "tout à droite" ! En ce cas, ce n'est pas un problème si un petit groupe s'organise alors pour raccourcir la sortie, ou "lever le pied" et "revenir à sa main" sans "se mettre dans le rouge". Chacun ainsi y trouve son compte.


Et Jean-Paul Jandot ... devant ou derrière ? En tout cas, pas loin









Ils sont même plus nombreux à participer à ces sorties de semaine : outre Michel, Charly, Jean-Paul les habitués, Gilles et Jean-Yves notamment, complètent désormais l'effectif depuis que le temps de la retraite les a rattrapés ou comme Francis depuis que les RTT bien placées coïncident aux après-midi ensoleillés !


Ce dimanche, pour les courses FSGT de toutes catégories, ils étaient tous là pour apporter leur concours à l'organisation (et même Maryse !). Bénévoles bien sûr, à la table de chronométrage, au contrôle des licences ou à la sécurité des carrefours, ils avaient délaissé leur vélo pour un jour. Mais jusqu'à demain seulement ... sans doute pour une nouvelle cousinade.

Consulter leur site en cliquant ici E.C.C.  mais  il semble que les mises à jour soient lointaines